FAQ - Embolie Et Thrombose Intracrâniennes
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une personne qui décède par embolie gazeuse souffre telle"?


la mort a cause des bulles dans les vaisseaux sanguins et une mort par embolie gazeuse.
Ça dépend ou sont ces bulles et combien nombreuses....
Donc ça dépend de la rapidité de la mort.  (+ info)

Comment gérer l'après embolie pulmonaire?


Je ne sais trop comment expliquer ma situation, il y a quelques temps j'ai été hospitalisé pour embolie pulmonaire. Je suis sorti de l'hopital, mais comment dire, je me sens transformé. Je suis souvent fatigué comme si j'avais perdu mon énergie d'avant. Je n'ai plus la meme force qu'avant. Les docteurs m'ont pourtant certifié qu'il n'y avait plus d'eau dans les poumons, hors je suis incapable de refaire du joging ou de la natation sans être essoufflé. Je ne fais plus de sport depuis plusieurs mois car je n'y arrive plus. Je pensais que ca allait s'améliorer mais dés que je fais le moindre effort physique comme monter un escalier de plusieurs étages, je sens essoufflé .

Comment faire pour retrouver la forme? Ai je vraiment été guéri ou est ce juste un sursis avant la mort ?

Merci pour votre aide
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Mais quel âge as tu?
Selon l'âge tu récupères plus ou moins vite.
Mais il faut du temps, des soins.
Tu vas peut-être trop vite pour te lancer dans le sport.
Parle avec ton médecin.  (+ info)

Thrombose hémorroidaire externe?


Peut elle guérir naturellement et en combien de temps ?(sans intervention)
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en rpincipe, cela necessite un petit coup de scalpel en anesthesie locale simplement. C'est un petit geste chirurgical que même certains généralistes savent faire.  (+ info)

j'ai un problème de santé très sérieux j'ai fait phlébite puis embolie pulmonaire et j'ai pas d'enfant. aidé


traitement : sintrom 4mg bas de contention, je veux des conseil par un prof. cardio-vasculaire ou bien un phlébologue car je désir faire un bébé et je ne s'est pas quoi faire. aidé mois orienté moi vers un bon médecin merci
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Je compatis avec toi car ma cousine vit la même situation que toi... et risque de ne pas concevoir, mais pour l'instant elle n'a que 19 ans... Je ne connais pas de spécialiste, mais je voulais juste te dire que tu n'es pas seule et courage tout peut changer!!!  (+ info)

Cicatrisation après une thrombose?


Bonjour,

J'ai été opéré d'une hémorroïdaire il y a quelques jours (vendredi pour être exact soit 4 jours), et j'ai donc subit une incision de cette dernière sous anesthésie locale sans point de suture.

Le problème que je rencontre actuellement se situe au niveau de la cicatrisation. En effet, mon hémorroïde était externe et donc c'est un endroit assez sensible lorsque l'on se rend à la selle. Vous l'aurez compris, la cicatrisation ne peux pas forcement ce faire normalement puisque lorsque je me rend aux toilettes, je sent comme des petites brûlures sans doute dues au fait que cette cicatrisation s'ouvre de nouveau.

J'aimerais quelques conseils pour que ma cicatrisation commence à être assez solide pour résister aux passages aux toilettes.

Quelques idées en vrac :

- Alimentation riche en fibres
- Moins manger pour éviter d'aller trop à la selle pendant quelques jours
- Prendre quelques cuillères de Paraffine pendant chaque repas

Enfin je sais pas trop comment faire donc si quelques personnes ont eu la même expérience que moi (thrombose opérée à cette endroit) et les choses à faire et à éviter pour accélérerr et favoriser la cicatrisation. Voila merci à vous ! =)
Non, juste du BiodalgicGé en cas de douleurs. Une pommade à me conseiller ?
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C'est douloureux mais il faut prendre ton mal en patience car aucun procédé n'accélère la cicatrisation....Le mieux serait de demander conseil à ton médecin...Courage!  (+ info)

embolie pulmonaire,?


qui a des renseignement a me donner
j ai une amie qui viens d en mourrir subitement
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Mon pére vient d'être sauvé inextremiste d'une embolie pulmonaire grace au scaner de controle (suite a un cancer du rein). Il est donc resté a l'hopital pendant 1 semaine sans pouvoir se lever et sous traitement anti coagulant.

Il s'agit en général d'un caillot ambulant qui circule dans le sang et finit par boucher une ramification artérielle irriguant le poumon.

L'embolie pulmonaire est la complication majeure de la phlébite. On la redoute chaque fois que se forme un caillot qui obstrue une veine d'un membre inférieur (veines du mollet ou de la cuisse). Une infection d'une paroi veineuse ou une hypercoagulabilité du sang peuvent provoquer une phlébite surtout s'il existe une station au lit prolongée. C'est le danger qui guette les opérés, les grabataires, les accouchées qui ont souffert de complications obstétricales.

Le caillot apparaît souvent à l'endroit où la paroi d'une veine est lésée. L'atteinte peut être accidentelle (fracture de la jambe ou du col du fémur) ou pathologique (ulcération, infection). La lésion vasculaire peut être aussi une suite opératoire (séquelle d'intervention sur l'estomac, l'utérus, la prostate, tous organes très vascularisés). La formation même du caillot est la conséquence d'un trouble de la circulation : le sang ne s'écoule pas à la vitesse normale, il n'est plus assez fluide, le taux de prothrombine (substance qui participe à la coagulation) est trop élevé.

Si le caillot adhère mal à la veine, il se détache. Au cours de son voyage au travers du système vasculaire, il peut passer dans les veines caves, atteindre le coeur droit et s'introduire finalement dans l'artère pulmonaire ; suivant sa grosseur, il bouche ce conduit vital, une de ses branches ou seulement une artériole.

Quand le caillot provient ainsi d'une phlébite des membres inférieurs, celle-ci peut être visible cliniquement ou latente et invisible : il n'y a aucun symptôme au niveau de la jambe (mollet). On parle d'embolie pulmonaire cruorique.

Dans de rares cas, l'embolie pulmonaire n'est pas cruorique :

l'obstacle qui entraîne l'embolie peut être une formation parasitaire, une viscosité graisseuse ou encore une bulle d'air.

L'embolie gazeuse se voit dans certains avortements où de l'air a été injecté dans la cavité utérine.

Le mal des caissons affecte les scaphandriers ou les plongeurs sous-marins lorsqu'ils n'ont pas observé au cours de la remontée les paliers de décompression. L'azote dissous dans le sang se libère trop brutalement.

L'embolie septique est un bouchon qui est en fait une agglomération microbienne ou parasitaire liée à des fragments de tissus nécrosés. Ce corps étranger se comporte comme un caillot et provoque les mêmes effets. On peut en rapprocher l'embolie de tissus cancéreux métastatiques.

L'embolie graisseuse est accidentelle. Elle survient lorsque par erreur de manipulation, un liquide graisseux est introduit dans la circulation. Sa densité interdit tout mélange avec le sang et provoque des embolies spécifiques. Le même phénomène se produit lorsque, à la suite d'une fracture ouverte ou d'un massage cardiaque externe trop vigoureux fracturant les côtes et le sternum, la moelle osseuse pénètre dans une veine ou une artère.

L'embolie pulmonaire est une affection si fréquente que toute anomalie respiratoire survenant de façon brutale doit faire évoquer ce diagnostic.

L'embolie pulmonaire avec coeur pulmonaire aigu.

Elle peut être mortelle et apparaît surtout chez un patient alité dans les suites d'une intervention chirurgicale.
Le début est brutal marqué par une douleur thoracique latéralisée ou médiane, constrictive en étau, angoissante, avec respiration rapide, sueurs, cyanose (coloration bleuâtre des téguments) et toux sèche.

A l'examen clinique, le médecin note une chute de tension artérielle, un pouls rapide, et un bruit de galop à l'auscultation. Le foie est douloureux et augmenté de volume. Une turgescence veineuse est fréquente. La recherche de signes de phlébite (stade de phlébothrombose) est souvent négative. Si elle existe, elle apporte un argument diagnostique capital (douleur provoquée dans le mollet, signe de Homans, etc.).

L'électrocardiogramme montre des signes de coeur pulmonaire aigu. La radio des poumons est parfois évocatrice. L'étude des gaz du sang montre une hypoxie (baisse du taux d’oxygène sanguin) et une hypocapnie (baisse du gaz carbonique). Le dosage du D-dimère est surtout utile pour le diagnostic d'exclusion de la thrombose et de l'embolie pulmonaire, car il n'est pas spécifique.

La scintigraphie pulmonaire, non dangereuse, est l'examen complémentaire le plus utile et doit être réalisée en urgence. Elle met en évidence le défaut de perfusion d'un territoire pulmonaire. Certains cardiologues pratiquent une angiographie pulmonaire sélective après cathétérisme de l'artère pulmonaire. L'écho-Doppler des veines des membres inférieurs confirme la phlébite.

Sous l'effet du traitement anticoagulant, l'amélioration est rapide en 24-48 heures. Cependant, l'aggravation est possible au cours des premières heures imposant le recours à un acte chirurgical (embolectomie) ou au traitement thrombolytique. L'évolution fatale reste très fréquente. Si le cap critique des premiers jours est franchi, les récidives doivent être prévenues par un traitement anticoagulant.

Les embolies pulmonaires foudroyantes.

C'est une mort subite ou une mort en quelques minutes par collapsus.

Les embolies pulmonaires frustes.

Elles sont très fréquentes. Les symptômes sont souvent trompeurs : vague douleur thoracique, tachycardie inexpliquée, angoisse, gêne respiratoire.

Le diagnostic est souvent porté quelques jours plus tard en cas d'infarctus pulmonaire : crachats sanglants, toux, fébricule. La radiographie pulmonaire est souvent évocatrice. La scintigraphie pulmonaire confirme le diagnostic.

Les embolies pulmonaires chez les patients souffrant d'insuffisance cardiaque et respiratoire

La fréquence des embolies pulmonaires chez ces patients et leur gravité imposent un traitement anticoagulant préventif.

L'embolie pulmonaire provoque une douleur thoracique aiguë et angoissante. Elle doit être différenciée de l'infarctus du myocarde par :

L'électrocardiogramme ;
Le dosage des enzymes cardiaques (transaminases) ;
La scintigraphie pulmonaire ;
La péricardite aiguë et la dissection aortique qui contre-indiquent l'utilisation des anticoagulants.

En urgence, le traitement fait appel :

Aux anticoagulants : héparine intraveineuse à la seringue électrique. Les héparines de bas poids moléculaire (Fraxiparine par voie sous-cutanée) sont de plus en plus utilisées ;
A l'oxygène ;
Aux sédatifs ;
Au traitement du choc si nécessaire.
Le traitement ultérieur repose sur le traitement anticoagulant au long cours par voie orale (antivitamines K).

Un traitement thrombolytique (streptokinase, urokinase) ou une embolectomie chirurgicale sous circulation extra-corporelle (CEC) peuvent s'imposer en milieu spécialisé en l'absence d'amélioration rapide.

Certains auteurs préconisent l'occlusion complète ou partielle de la veine cave inférieure (ligature chirurgicale ou clip).

Le traitement préventi est capital et repose sur la prescription d'anticoagulants chez les sujets exposés à une thrombose veineuse profonde : sujets alités, convalescents d'intervention chirurgicale : antivitamines K ou héparine standard par voie sous-cutanée (Calciparine) ou héparine de bas poids moléculaire (Fragmine, Lovenox, Fraxiparine), sur le dépistage et le traitement précoce des phlébites des membres inférieurs, leur prévention par le lever précoce etc...

Les longs voyages aériens favorisent les thromboses veineuses et les embolies pulmonaires même chez des sujets apparemment sains. Les facteurs favorisants sont alors l'hypoxie (rôle aggravant du tabac) et la déshydratation due au faible degré d'humidité de l'air ambiant et à l'absorption d'alcool. La station assise prolongée entraîne des modifications de la composition du sang veineux des membres inférieurs.

Des conseils sont utiles en avion :
Eviter de fumer ;
Eviter de boire de l'alcool pendant le vol ;
Boire beaucoup de boissons non alcoolisées ;
Faire régulièrement une petite marche dans les allées (choisir des places assises près des allées) ;
Prévoir un traitement anticoagulant préventif en cas de risque particulier.  (+ info)

est ce que j'ai rêvé ?


il y a quelques années en arrière lol

j'avais lu dans un bouquin parlant de sexualité que si on soufflait avec la bouche !!! euhhhhhh dans la vagin d'une femme, celle ci risquait une embolie !!!

j'aimerais savoir si c'est vrai ou si c'est mon imagination qui me joue un mauvais tour !!!!
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Ben evite de sortir sans culotte avec un ouragan, ma chere...  (+ info)

j'ai une phlébite : thrombose d'une veine superficiel. suis sous traitement inhorep + sintrom : quel risques ?


Le plus grand risque de complication de la phlébite est l'embolie pulmonaire. Celle-ci étant traitée, ce risque est minime, mais le suivi médical rapproché est nécessaire.

Le plus grand risque lié au traitement anticoagulant est l'hemorragie. C'est pour cela qu'il faut pratiquer un bilan sanguin régulier durant le traitement afin de controler si le dosage de celui-ci est bien équilibré.

De plus il faut éviter la station debout prolongée les premiers temps, afin que le caillot ne puisse pas migrer.

Bon courage pour cette période.  (+ info)

Comment est-il possible?


de mourir d'une embolie pulmonaire suite à une opération pour des varices, à 23 ans? Est ce qu'il s'agit d'une erreur médicale, ou est-ce que ce genre de risques est inhérent à l'opération?
Elle aimait tellement sourire... :(
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oui chaque opération comporte des risques . théoriquement l'embolie pulmonaire en fait parti et un traitement adapté est mis en place a chaque intervention qui nécessite de resté alité par la suite . l'erreur médicale existe parfois et la société dans laquelle nous vivons recherche systématiquement des responsables . chaque cas est différent et le personnel soignant est attentif à chacun mais reste pour chacun d"entre eux un être humain susceptible de se tromper . la parole est essentielle est parfois les patients n'évoquent pas certains signes qui pourraient orienter les soignants sur la conduite à tenir dans certaines situations . un être cher qui part c'est toujours dur ... surtout pour des enfants ou des jeunes adultes . les soignants en souffrent aussi d'autant plus qu'il s'agissait d'une opération à priori bégnine !  (+ info)

embolie pulmonaire, vous connaissez ?


Bonjour j'ai appris recemment que j'ai une embolie pulmonaire, je ne vais pas m'étaler sur les symptomes et autres complications, j'aimerai savoir si vous, ou si l'un de vos proches avez été touché par cette maladie et comment vous en êtes vous sorti... Je suis un peu inquiète.
Merci à tous
Je précise que j'ai passé 6j à l'hopital, ca fait un mois que je suis en arrêt :) Donc si je dis que j'ai une embolie pulmonaire c'est que c'est le cas et que je suis traitée pour ! au besoin je peux éventuellement fournir le nom de mes médicaments... en attendant je voudrais juste des témoinages de gens à qui c'est arrivé... merci
Alors merci pour vos réponses mais je précise juste une chose que mon médecin m'a appris... il faut des semaines à mon corps pour dissoudre le caillot. J'ai donc quitté l'hopital avec mon caillot toujours au même endroit ! Mon anticoagulant sert juste à ne pas avoir de nouveaux caillots de sang, c'est mon corps qui se chargera tout seul comme un grand de le dissoudre....
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On parle d’embolie pulmonaire lorsqu'un caillot circulant dans le sang va boucher le système artériel irriguant le poumon
Le tableau classique de l'embolie pulmonaire comporte un essoufflement (dyspnée), une douleur thoracique, parfois le patient peut cracher du sang (hémoptysie).

L'examen clinique montre une augmentation de la fréquence respiratoire (polypnée), un pouls rapide (tachycardie). Il n’ y a pas de signe d’insuffisance cardiaque gauche (auscultation pulmonaire normale). Si l’embolie pulmonaire est importante, on peut voir des signes d’insuffisance cardiaque droite (veine jugulaire dilatée = turgescence jugulaire, douleur au niveau du foie = hépatalgie...).

En présence d'une dyspnée ou d'une douleur thoracique, le score de Wells permet d'évaluer la probabilité clinique d'une embolie pulmonaire :

* score inférieur à 2 = probabilité faible < 5%
* score intermédiaire (2 à 6) = probabilité de 20 à 30%
* score supérieur à 6 = probabilité forte > 60%
L'ECG (L'électrocardiographie (ECG) est la représentation graphique du potentiel électrique qui commande l'activité musculaire du cœur) n’est pas spécifique et les modifications sont très inconstantes : simple augmentation de la fréquence cardiaque (tachycardie) le plus souvent, modification de la repolarisation dans les dérivations proches du ventricule droit, bloc incomplet droit, déviation de l'axe électrique du cœur vers la droite (signes de surcharge droite).

La radiographie pulmonaire est sensiblement normale.

En fait, une embolie pulmonaire peut se présenter sous des tableaux extrêmement divers : fièvre au long cours, douleurs atypiques, malaise ou syncope(perte de connaissance brutale spontanément réversible, liée à une diminution brusque du débit sanguin cérébral : elle trouve toujours son origine dans une anomalie cardiaque ou vasculaire), état de choc, voire être totalement silencieux. Un adage classique en médecine dit « on ne comprend rien au tableau du patient : c’est une embolie pulmonaire jusqu’à la preuve du contraire ». De même, il y a souvent une mauvaise corrélation entre l’importance de l’embolie et le tableau clinique, mais une mauvaise tolérance (chute tensionnelle, signe d’insuffisance cardiaque droite, dyspnée importante) est fortement en faveur d'une embolie pulmonaire massive.
Sous un traitement bien conduit, l'embolie pulmonaire peut guérir sans séquelle, mais il peut subsister un essoufflement plus ou moins invalidant.

Une embolie pulmonaire massive peut conduire à un état de choc, voire à un arrêt cardio-circulatoire.

La plupart des embolies pulmonaires (60% à 80%) n'ont aucune manifestation clinique puisque le thrombus est de petite taille.

plusieurs recommandations sur la prise en charge de l'embolie pulmonaire ont été publiées par des instances internationales. Les plus récentes l'ont été en 2007 par l'American college of physicians[3] et en 2008 par l'European Society of cardiology[4].

L'hospitalisation est indispensable. S'il s'agit d’une embolie pulmonaire grave, l'admission en soins intensifs est préférable.

Une oxygénothérapie (fait d'apporter un supplément d' oxygène) est mise en route dans un premier temps de façon non invasive (à réévaluer avec la tolérance de l'embolie).

Une anticoagulation en intraveineuse ou en sous-cutanée par héparine ou HBPM est débutée avec un relais dans les 7 jours (pour éviter une thrombopénie (Baisse variable du nombre de plaquettes sanguines) induite par l'héparine) par AVK (anticoagulants oraux) qui seront continués au moins pendant 3 mois suivant le contexte.

Le lever est fait après 48 h minimum d'anticoagulation bien conduite en présence d'une infirmière et avec des contentions élastiques de type bande à varices.

Si l'embolie pulmonaire est grave (mauvaise tolérance clinique et/ou importance de l’embolie sur les imageries) avec un risque vital, on peut proposer un traitement fibrinolytique

* Cette dernière a pour but de dissoudre rapidement le caillot (quelques heures au lieu de quelques jours). Elle est injectée en une cure de perfusion de courte durée (en général bolus initial suivie d'une perfusion sur 2 heures).
* Le risque hémorragique peut être important : il est capital de respecter les contre-indications (chirurgie récente, maladie de l'hémostase, ponction artérielle, HTA non maîtrisée, AVC récent...)
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