FAQ - Schizophrénie Paranoïde
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quelle est la liaison entre la drogue et la schizophrénie?


mon frere pose un probleme diagnostic il a un trouble de comportement les psy n'ont pas donné un diagnostic est ce que c'est due à une drogue ou bien il est malade
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Il n'y a aucune liaison entre les deux.

Seulement, la drogue peut provoquer des hallucinations et des problèmes de troubles comportementaux..

Donc lorsqu'une personne se drogue, c'est impossible de savoir si l'ensemble de ses problèmes est provoqué uniquement par la prise de drogue ou si une partie de ses problèmes est provoqué par la prise de drogue et une autre partie à cause d'une maladie psychiatrique.

Il faudrait dans un premier temps qu'il arrête de se droguer ... ce qui, indépendemment de ce problème de diagnostic, ne lui ferait pas de mal ...  (+ info)

Est-il vrai que la consommation de cannabis prédispose à la schizophrénie à tendance paranoïaque ?


Le cannabis

Vanté par les uns, décrié par les autres, le cannabis est l'objet de toutes les polémiques. Mais cette drogue est-elle réellement aussi anodine qu'on le prétend ? Au contraire, elle semblerait favoriser l'apparition de troubles mentaux tels que l'anxiété, la dépression et même la schizophrénie. Retour sur les dangers du joint…

Effets et dangers du cannabis

Les effets de la consommation de cannabis sont variables : légère euphorie, accompagnée d'un sentiment d'apaisement et d'une envie spontanée de rire, légère somnolence. Les usagers de tous âges consomment généralement pour le plaisir et la détente. Des doses fortes entraînent rapidement des difficultés à accomplir une tâche, perturbent la perception du temps, la perception visuelle et la mémoire immédiate, et provoquent une léthargie. Ces effets peuvent être dangereux si l'on conduit une voiture, si l'on utilise certaines machines.

Ainsi, ses effets sur la mémoire à court terme sont aujourd'hui connus. Le cannabis entraîne quelques "trous" dans les souvenirs. Cette mini-amnésie est multipliée en cas de consommation associée avec de l'alcool. Et le joint a d'autres effets sur les capacités cognitives : difficultés de concentration et d'apprentissage notamment. Mais il faut noter que plusieurs études soulignent le caractère transitoire de ces troubles, qui disparaissent dès l'arrêt de la consommation.

Les principaux effets physiques du cannabis peuvent provoquer, selon la personne, la quantité consommée et la composition du produit :

* une augmentation du rythme du pouls (palpitations);
* une diminution de la salivation (bouche sèche);
* un gonflement des vaisseaux sanguins (yeux rouges);
* parfois une sensation de nausée.

Certains effets, souvent mal perçus par la population et les consommateurs, ont des conséquences importantes et révèlent l'existence d'un usage à problème, donc nocif :
* difficultés de concentration, difficultés scolaires...
* dépendance psychique parfois constatée lors d'une consommation régulière et fréquente : préoccupations centrées sur l'obtention du produit;
* risques sociaux pour l'usager et son entourage liés aux contacts avec des circuits illicites pour se procurer le produit;
* chez certaines personnes plus fragiles, le cannabis peut déclencher des hallucinations ou des modifications de perception et de prise de conscience d'elles-mêmes : dédoublement de la personnalité, sentiment de persécution. Ces effets peuvent se traduire par une forte anxiété.

Une dépendance psychique est parfois constatée lors d'une consommation régulière et fréquente : les préoccupations sont centrées sur l'obtention du produit. Un usage nocif de cannabis peut favoriser la survenue de troubles psychiques.
Un lien prouvé avec la schizophrénie
En revanche, les liens entre le cannabis et un trouble psychologique important tel que la schizophrénie sont plus préoccupants. Une étude récente4, menée sur plus de 50 000 appelés suédois, soulignait ainsi que la consommation de cannabis chez les jeunes peut entraîner l'apparition de cette maladie mentale : le risque serait augmenté de 30 % chez un fumeur de joint. Une autre publication5 souligne que la schizophrénie apparaîtrait d'autant plus facilement que le consommateur est jeune. Mais ces études ne prouvent pas de manière formelle le lien entre cannabis et schizophrénie. Selon les scientifiques, il serait essentiellement préjudiciable chez des personnes déjà psychologiquement fragiles, et pourrait n'être qu'un "révélateur" d'une schizophrénie plus ou moins latente. Difficile donc de faire la part des choses.

Même si les effets nocifs du cannabis sur la santé sont, à certains égards, moins importants que ceux d'autres substances psychoactives, l'appareil respiratoire est exposé aux risques du tabac (nicotine et goudrons toxiques), car le joint est composé d'un mélange de tabac et de cannabis. Les risques respiratoires sont amplifiés dans certaines conditions d'inhalation (pipes à eau, "douilles").


Cannabis et dépendance

L'usage répété et l'abus de cannabis entraînent une dépendance psychique moyenne à forte selon les individus. En revanche, les experts s'accordent à dire que la dépendance physique est minime. Toutefois, un usage régulier, souvent révélateur de problèmes, est préoccupant, surtout lorsqu'il s'agit de très jeunes usagers.

En espérant avoir répondu à ta question...

Amicalement...  (+ info)

est ce qu'on peux considérer qu'un excès de paraphrénie peux entraîner une schizophrénie?


c'est a dire est ce tous lé schizophréne ont déja passé par la paraphrénie pour étre schizophréne ?
ou:
est ce que c'est un risque pour qu'un paraphrénie devient schizophréne si oui de quel pourcentage est ce rique?
merci de répondre
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A priori je dirais que non : ce n'est pas la même pathologie, même si les signes cliniques se ressemblent : le paraphrène n'est parasité par son délire que sur certains aspects de sa production intellectuelle, tandis que le schizophrène l'est sur presque tous les aspects...Il n'y a pas d'évolution de la paraphrénie vers la schizophrénie : soit on est paraphrène, soit on est schizophrène...D'ailleurs la plupart des schizophrènes sont plutôt jeunes (20-30 ans) tandis que les paraphrènes sont plus vieux (40aine)  (+ info)

Pensez vous que la consommation de cannabis peut faire basculer dans la schizophrénie?


Les spécialistes sont prudents et comme ils ont compris que cette question était avant tout politique, se gardent de tout jugement définitif.

Je suis enclin à penser que l'hyper consommation de THC est plutot une forme d'automédication du sujet. Alors que le consommateur se sent mal, il minore ses symptomes comme cela, jusqu'au jour ou les prises ne suffisent plus et il décompense.
A mon sens, donc, dire que le cannabis est une porte d'entrée dans la psychose est une simplification hasardeuse.
Qu'en pensez vous?
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les taux de problémes mentaux en hollande sont de loin inférieur à la france , le taux de criminalité aussi bien entendu .En fait , tout ce que vous dites laisse à penser que la hollande doit etre un pays terrifiant envahi par les schysophrènes , en fait non !!( je parle des intervenants , pas de ta question trés intéréssante )
Hélas , je pense que la dictature hygiéniste qui gagne l' europe finira par tirer le peu de pays à encore attacher une valeur au principe de " liberté individuelle ( oups , un gros mot ) vers le bas ! La france ne risque pas de dépénaliser , alors pas de panique et jetez plutot un oeil à la pollution due a vos voitures qui tuent des milliers de gens !
P . S quitte à enfoncer une porte ouverte , les personnes présentant des tendances à la schyso sont une minorité pour laquelle l' usage de tout produits récréatifs est à déconseillé .
Mais il y a bien longtemps que l' état n' en est plus aux conseils ou à l' information .La prohébition est plus pratique , ça donne du boulot a plein de gens et ça rempli les prisons !
Que la valse des pouces commence !  (+ info)

Est-ce qu'un mythonomane est conscient de son état et est-ce une forme de schizophrénie?


non ce n'est pas de la schizophénie, je pense qu'il existe divers degrés de mythomanie, je crois que le mythomane sait au fond de lui qu'il s'invente une réalité pour s'y sentir plus à l'aise et pour donner une image de lui telle qui la voudrait, tout cela parce que sa vie ne le satifait pas  (+ info)

Quelle est l' origine de la phobie sociale et a-t elle un lien avec la schizophrénie?


Bonjour,

Je suis diagnostiqué phobique sociale et je me demandais si la phobie sociale apparaissait pour faire barrage disons serait le dernier rempart avant l' émergence de la schizoprenie?

Je pose cette question car ma mére est schizoprene soignée et le médecin m'a dit qu' il y a beaucoup d' enfants de schizoprene pas tous bien evidement qui sont phobique social.

D' où ma question
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Il y a aucun lien entre la phobie social et la
schizophrénie
La phobie social est l'angoisse ou la peur
de parler en publique
Beaucoup de gens souffrent de phobie social
et par chance de nos jours, elle se guérit
facilement avec ou sans médication
Il est conseillé de faire une thérapie
cognitive-comportemental, cela
donne d'excellent résultat !!
*Site internet et forum qui parle et conseil sur la phobie social
www.desploiestesailes.com  (+ info)

Quel est le meilleur traitement actuel et quels seront les nouveaux pour traiter la schizophrénie ?


C'est difficile de parler de meilleur traitement , mais ce qui est possible est de citer les différentes modalités thérapeutiques et de faire une prescription en fonction du stade évolutif et/ou du type de schyzophrénie . Ainsi on distingue :
A- Les traitements médicamenteux :
-Neuroleptiques :

C’est en 1952 à l’hôpital Sainte-Anne à Paris que J. Delay et P. Deniker démontrèrent l’efficacité de la chlorpromazine sur les symptômes schizophréniques.
Une nouvelle classe de médicaments appelés neuroleptiques allait naître.

On distingue :
*** les neuroleptiques les plus antihallucinatoires (halopéridol, amisulpride) ;
*** les neuroleptiques les plus sédatifs (chlorpromazine, loxapine, cyamémazine) ;
*** les neuroleptiques les plus desinhibiteurs (amisulpride).
Tous ces médicaments ont en commun la capacité d’induire des signes de maladie de Parkinson (raideur, tremblements) du fait de leur action antidopaminergique.

*** Neuroleptiques atypiques
A la fin des années 80 on a redécouvert les propriétés thérapeutiques d’un vieux médicament neuroleptique, la clozapine, capable d’améliorer des schizophrénies résistantes aux autres médicaments. A la suite, une nouvelle catégorie de médicaments a vu le jour : les neuroletptiques atypiques (dits atypiques parce que peu ou pas capables de provoquer des signes de maladie de Parkinson) ou nouveaux antipsychotiques. Ces médicaments sont : olanzapine, rispéridine, sertindole, aripiprazole.

Ces médicaments constituent un progrès puisque :
ils agissent mieux sur l’ensemble des symptômes de schizophrénie ;
ils sont mieux tolérés sur le plan neurologique en n’induisant pas de raideur, pas de tremblements.

B- Traitements psychologiques :

1-Psychothérapie de soutien et d’accompagnement :

La psychothérapie de soutien et d’accompagnement, évidemment nécessaire, est basée sur une relation de confiance (parfois peu évidente pour un patient vivant avec un sentiment d’hostilité). Elle repose plus facilement sur une équipe qu’une personne unique. D’où la plus grande fréquence de prise en charge de tels patients par un suivi psychiatrique où travaillent ensemble médecins, psychologues, infirmiers, travailleurs sociaux…
Cette prise en charge permet ainsi d’aider à prendre certaines décisions sociales auxquelles ces patients sont confrontés avec difficulté : vivre seul, en famille ou en foyer ? maintenir ou distancier une relation ? faire un projet social ou le différer ?

2- Psychothérapies d’inspiration analytique
Différentes stratégies peuvent être mises en place pour aborder la schizophrénie sous un angle analytique : groupes thérapeutiques, psychodrame, psychothérapie individuelle.
Certains schizophrènes tirent avantage de telles stratégies. Ceci en raison d’une appétence individuelle pour ce type de démarche et d’une vocation doublée d’un savoir-faire spécifique de l’équipe en charge du patient.


3- Les TCC (thérapies cognitivo-comportementales)
Elles sont appliquées aux patients atteints de trouble schizophrénique et reposent sur des techniques de rééducation cognitive et comportementale dont l’ambition est l’amélioration des capacités d’autonomie.

L’électroconvulsivothérapie (ECT)
L’électroconvulsivothérapie garde une image très négative dans le grand public : il s’agit pourtant d’un traitement irremplaçable dans un certain nombre d’états schizophréniques aigus que les médicaments seuls n’arrivent pas à apaiser.
L’ECT est une stimulation électrique appliquée sur le cortex cérébral à travers le scalp sous anesthésie générale et curarisation :
la stimulation est appliquée pendant une fraction de seconde selon des paramètres (intensité) définis pour chaque patient afin d’obtenir l’effet thérapeutique : de nos jours, l’ECT ne peut se concevoir qu’avec monitoring des effets produits au niveau cérébral ;
l’anesthésie générale est destinée à protéger le patient des désagréments contemporains de la stimulation (l’électrochoc se pratiquait autrefois sans anesthésie) ;
la curarisation est destinée à éviter les convulsions au moment de la stimulation cérébrale.
Les indications de l’ECT dans la schizophrénie sont les suivantes :
état aigu (agitation, hallucination, angoisse) résistant aux chimiothérapies ;
état aigu avec risque d’agressivité (suicide ou hétéro-agressivité) ;
résistance aux chimiothérapies.

A retenir :
l’ECT n’a rien d’une thérapeutique barbare !
au contraire, les travaux scientifiques les plus récents en montrent les effets bénéfiques face à certaines situations et à la condition de modalités pratiques bien définies ;
les effets indésirables de l’ECT sont surtout des troubles transitoires de la mémoire

La stimulation magnétique transcrânienne (TMS)
La stimulation magnétique transcrânienne (ou TMS) reste encore du domaine de la recherche. Il est cependant montré que guidée par l’imagerie cérébrale, cette modalité de stimulation peut traiter certains symptômes schizophréniques, par exemple les hallucinations.
A retenir :
la TMS est une modalité de stimulation par induction d’un champ magnétique à travers le scalp : un avantage par rapport à la simulation électrique (ou électroconvulsivothérapie) est sa facilité d’utilisation ;
elle reste encore plus du domaine de la recherche que de la pratique

En pratique, le traitement
Précocement, au stade des signes éventuellement annonciateurs tels que anxiété, dépression, modification notable du comportement à l’adolescence ou l’âge adulte jeune, repli sur soi, inversion du rythme de vie :
évaluation clinique aboutissant à retenir ou écarter le diagnostic de trouble schizophrénique ;
mise en place d’un accompagnement, y compris accompagnement psychothérapique et aide à l’orientation scolaire, universitaire ou professionnelle.
A ce stade, l’intérêt de mettre en route un traitement antipsychotique n’est pas démontré.
Il faut cependant savoir qu’en moyenne le retard au diagnostic et à la mise en route d’une chimiothérapie est de 3 à 5 ans, ce qui n’aide pas le pronostic.
Lorsque le diagnostic est posé, c’est-à-dire à l’étape du premier épisode psychotique avéré :
la chimiothérapie antipsychotique est mise en route, ses effets étant évalués : après 10 à 15 jours pour l’angoisse, 6 semaines pour les hallucinations et la désorganisation, 3 mois pour le délire et l’autisme ;
en cas d’échec de la chimiothérapie on discute soit une autre médication antipsychotique qui pourra être efficace, soit un traitement par électroconvulsivothérapie (12 à 15 séances) ;
maintien d’une chimiothérapie antipsychotique pendant 1 à 3 ans minimum ;
définition des modalités psychothérapiques et sociales susceptibles d’aider.
En cas de nouvelle phase processuelle, stratégie identique à celle qui avait été mise en place pour un premier épisode.

En dehors des phases processuelles se pose la question du choix des traitements les plus stimulants et préventifs d’une éventuelle rechute : psycho et sociothérapie avec ajustement des choix et posologies de médicament.

Certains neuroleptiques et antipsychotiques sont disponibles en forme dite retard : 1 à 2 injections intra-musculaires par mois sont équivalentes à une prise quotidienne per os. Ceci peut faciliter la gestion du traitement de patients ambivalents dans leur adhésion aux soins.

A retenir :
les troubles schizophréniques nécessitent des soins prolongés sur plusieurs années ;
une cicatrice fréquente est la persistance d’une ambivalence face aux soins : à l’extrême, ceci peut être une cause de non stabilité pendant plusieurs années, le patient interrompant son traitement avec une rechute dans les 3 mois qui suivent (les médicaments neuroleptiques et antipsychotiques continuent à produire leur effet durant plusieurs semaines après l’arrêt de la prise).  (+ info)

diagnostiquer une schizophrénie?


pouvez vous m'apporter des témoignages sur le parcours qe vous avez du suivre pour faire reconnaitre de manière formelle la schizophrénie d'un proche? les difficultés rencontrées avec certains médecins? des détails, des info utiles sur le vivre au quotidien avec un schizophrène qui prend irrégulièrement son traitement? ou tout autre témoignage utile.
merci!!!
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Déjà le diagnostique est uniquement de la compétence d'un psychiatre. Ensuite au quotidien, l'acceptation de sa pathologie peut prendre beaucoup de temps, ce qui peut être une des raisons d'un refus de traitement. Pourtant cette étape est à mon avis cruciale.

En plus l'effet du traitment n'est pas immédiat ça peut prendre 15 jours. La personne peut donc très bien arrêter son traitement et se sentir bien pendant 10 jours en croyant être guérie, et brusquement avoir les effets négatifs. Faut aussi savoir que l'alcool, le cannabis et autres drogues annulent les effets du traitement.  (+ info)

Pourquoi la presse présente les personnes souffrant de schizophrénie comme des meutriers?


Déjà il y a plusieurs forme de schizophrenie, ils ne sont pas plus criminel que d'autre catégorie d'individu. C'est compliqué la schizophrenie, réduire cela à une équation schizophrene=criminel potentuel, c'est simpliste:

source: http://www.lepost.fr/article/2010/02/03/1922281_deux-morts-a-une-station-rer-le-plus-age-a-attrape-l-autre-par-la-taille-avant-de-se-jeter.html
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c'est beaucoup plus vendeur et je rejoins gilbert ça fait plus d'audimat  (+ info)

Quel est l'évolution de la schizophrénie sur l'état de santé pour un patient âgée?


La schizophrénie est une pathologie inconnue pour les médecins qui la plupart du temps ne comprennent pas les patients. Les gens victimes de ça disent entendre des voix et malheureusement c'est la réalité.
Souvent, ils sont atteint jusqu'à leur mort et ça peut durer des années.  (+ info)

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